La tour

La place était horriblement calme et vide. J'endendais les bruits de mes pas sur les pavés résonner dans toute la place. Depuis que le Chancelier avait pris le controle de la ville, les gens restaient la plupart du temps cloitré chez eux, volet et porte fermé à double tours.
De la place, on pouvais voir très facilement tout le chateau s'élever fièrement au dessus de la ville. C'était là-bas que le Chancelier et quelqu'un de ces hommes...

J'avais peur. J'avais vraiement peur.Trop d'évènement brutaux sont arrivé beaucoup trop soudainement à mon gout. Le Chancelier était capable de tout pour arriver à ces fins...Même si en quelque sorte, ses objectifs étaient louable.

Sans m'en rendre vraiment compte, je m'étais arrêter au beau milieu de la place, à fixer le chateau.
Puis soudain, en regardant plus attentivement dans le ciel, je vis quelque chose d'énorme approcher le chateau. Cela se déplaçais vite, très vite même.

* Bahamut ? *

J'avais vu juste. Le puissant dragon de Clad volait jusqu'au chateau, mais celui-ci semblait être dans une rage incomensurable.
Avec un force monstreuse qu'était la sienne, Bahamut, fonça droit sur une des tours du chateau et réussis à entrer de force.
J'étais rester tétaniser devant se spectacle inantendu. Qu'est ce qui allait encore se passer ? Rien de bon, j'en étais persuader...

Il y eu quelques seconde de silence, où plus aucun bruit ne venais de la tour, des secondes qui m'avaient paru comme une horrible éternité.
Soudain, je vis plusieurs missible descendre du ciel pour aller s'écraser contre la tour. l'explosion fut terrible. L'onde de choc secoua quelques instant toute la ville et les alentours. Un puissant rugissement de douleur résonna dans tout la ville ou devrais-je plutot dire, d'agonie...

Il ne restait casiement plus rien de la tour. J'eu tout juste le temps d'apercevoir entre les débrits de décombre et le grand nuage de poussière, le corps éventré du puissant dragon, chuter lourdement pour attérrire durement au sol, pour ne plus bouger...
Mais quelque chose d'autre avait attirer mon attention, un petit point bleu lui aussi avait chuter lourdement, en même temps que Bahamut.
Cette uniforme bleu...Il y avait qu'une seule personne qui portait ce genre d'uniforme...

Mes jambes ne me tenaient plus. Je tomba à genoux, ne coyant pas tout ce que je venais de voir...
Bahamut, l'un des dragon fondateur venait de se faire tuer, et le Chancelier venais de perdre lui aussi la vie.

Mais où allions nous tous comme ça ?! Nous commençions déjà à nous entre tuer ! Laguna, puis Bahamut...ça ne devais pas se passer comme ça ! Ce foutu Chancelier ! Ces missibles! ils ne pouvaient être qu'à lui ! Pourquoi avait-il donner l'ordre de la lancer ici ?!
Mais maintenant ? Si le Chancelier venait de mourire...qui allait prendre en main le grand chantier ?
Ma tête me paru soudain horriblement lourd...Je laissa mon regard se poser sur le sol pavé pour ne plus le relever.
Mes main se crispèrents de colère et surtout d'incompéhension.

* Comment allons nous faire maintenant ?*

Une silhouette immobile observait la place de l’intérieur d’une brique, il vit le spectacle, mais l’avait vue bien avant, le seul but de la mise en scène était accomplit, les travaux pouvait commencer ou presque, les bases du château, trop solide, avait presque totalement survécue à l’explosion, mais toutes les tours était au sol, un bon début, un véritable carnage.
Une personne était visible, agenouillé au centre de la grande place, rousse… Il la voyait ainsi, pitoyable, la mort d’un ami était donc si important pour les gens, quel étrange tradition que de se lier à de la chaire…
Lentement, un ADN différent de la place fusionna avec les dalles, avec la pierre et le ciment. Son propre corps disparu avec une rapidité équerrant que trop de gens jalouseraient si elle était connut. La petite nuance d’ADN se déplaçait, parcourant rapidement la distance séparant le mur du centre de la grande place, jusqu'à la dame ici agenouillé.
Une ombre apparut au côté de Naël, nuancé de part sa grande veste, donnant l’incertitude des contours, mais la certitude de la personne malgré tout, une courte chevelure, de larges épaules sur une petite personne, la veste visiblement ouverte, donnant au bas de son corps une corpulence d’obèse, le dessin d’un long révolver dans sa main droite… une main gantelée de blanc se posa délicatement sur l’épaule de Naël. Le bruit de botte qu’il fit en s’avançant d’avantage ne trompait pas, seul Thomas avait des bottes munit au leurs dessous d’une plaque de fer.
Il observait lui aussi le spectacle, avec un sourire satisfait, un sourire de vainqueur entièrement sur de lui.
La réaction de Naël n’allait pas tarder à se faire sentir, mais il ne bougeât pas, que pouvait elle lui faire maintenant ? Il était invincible, modelable à souhait, indestructible, il était Dieu sur Terre, le maître absolue de toute vie dans l’univers, du moins en était il maintenant persuadé…

" Etrange spectacle, regardé comme je chute grotesquement, il ne m’a pas raté pour sur… maudit Dragon, il m’a vraiment amoché avec ces enfantillages, vous ne trouvez pas ? "

Mon regard ne se détachait plus du Chancelier qui se trouvait juste derrière moi.
Déception ? Soulagement ? Rage ? Tout ces sentiments se confrontaient une fois de plus en moi.

C'était tout bonnement impossible ! Je l'avais vu ! J'avais vu le corps du Chancelier chuter du haut de la tours ! J'avais vu le corps inerte du jeune homme se dissoudre pour qu'il n'en reste plus rien ! Et pourant ! Et pourant, il était toujours là ! Belle et bien vivant !
Mais qu'il était-il ?!

Certe, il était vivant, par je ne sais qu'elle miracle ou malédiction, les traveaux allaient pouvoir aller de bon train et l'armée être diriger correctement mais, il venait de tuer Bahamut et Clad !
Il n'avait pas le droit de faire ça !
Bahamut était l'un des rares dragons à être encore en vis à notre époque et Clad était mon compagnon d'arme et surtout un ami chèr...

Il venait de les assasiner tout les deux !
Toujours à terre mon regard c'était durci, il s'était fait meurtrier mais on pouvait voir clairement des larmes me monter aux yeux. D'une voix briser par un sanglot qui menaçait d'exploser, mes mains crispés sur ma poitrine :

" Pourquoi vous avez fait ça ? Pourquoi vous les avez tuer ? Ils pouvaient être des allier puissants . Vous avez tuer un puissant soldat et un seigneur Dragon . Comment vous avez pu faire une chose pareille ? ( Ma voix se réduit à un chuchotement et mon regard était retomber au sol ) Laguna, Clad, Bahamut...Qu'est ce qui me reste maintenant ? Si ça continue comme ça, je...je vais être de nouveau seule... ( mes mains se crispèrent à mes épaules, secoué par un sanglot silencieux qui menaçait de sortir à tout moment ) Je ne veux pas être toute seule... "

Je ne pouvait même pas montrer ma rage envers le Chancelier, au risque de subir sa colère froid et terrifiante. Encore une fois je ne pouvais rien faire. Je ne pouvais être que la spectatrice de l'execution de ce que je croyais invinsible...

L’expression de Thomas changeât du tout au tout, son sourire satisfait disparue pour laisser apparaître des lèvres horizontales, immobiles et emplit de sévérité, son regard amusé devint glacial, méprisant tel un officier face à un déserteur, un père fasciste face à son fils trisomique, le méprit accomplit d’un être jadis méprisé, qui apprit à décupler la possibilité d’expression par regard… Il saisit l’épaule droite de Naël avec violence, et la tira vers le haut tel un vulgaire chiffon. Une fois la dame debout, il la secoua brutalement d’avant en arrière, puis la rejeta d’un geste puissant, dénigrant. Il mit ses bras derrière son dos, et se mit à décrire des tours de plus en plus étroits autours de Naël, toujours sans rien dire… Un fois à quelque centimètre d’elle, face à son visage en larme, terrorisé par sa propre rage, par la mort trop rapide de son ami, par l’apparition évidente d’un deuxième Thomas…
Il ne l’observait pas vraiment, du moins son regard laissait apparaître cette impression désagréable de n’être pas la, puis, sans prévenir, sans prendre le temps de réfléchir ni même d’articuler quelques mots, la douce joue gauche de Naël se vit rougit par la main de Thomas, un coup rapide, trop pour que le moindre geste ne laisse comprendre qu’il avait réellement déplacé son bras, le coup était extrêmement violent, Naël reçut se choque comme une pierre lancé à la vitesse de 20km H, si le choque avait été rependue sur ton son corps, elle n’aurait pas trop souffert, mais toute cette vitesse, et l’impacte ne furent répartie que sur quelques dizaine de centimètre de chair…
Thomas observa Naël, étendue sur le sol, à demi consciente, le sang dégoulinent de sa bouche, de son nez, la chaire légèrement arraché au contacte des phalanges intacte de Thomas… Il s’avança, et s’accroupie à hauteur de son visage, les coudes posé sur ses genoux, les mains ballante devant le visage de Naël, sa main droite n’était même pas rougie par le contacte, aucune nuance d’effort n’apparaissait sur son poignet. Thomas caressa la chair à nue de Naël, le sang coulait de plus en plus, mais l’écoulement ne suffirait même pas à l’affaiblir, se n’était qu’une blessure superficiel, alors que son nez fracturé était nettement plus dangereux, ainsi que ses nombreuses dents déchaussés.

" Madame la Dragonnière, comprenez que mon temps est sacré, votre ami à fait un acte irraisonné, il a tué le Chancelier, comprenez que si je viens à mourir, cette humanité est perdue, la ruche souterraine ne fonctionne pas par électricité, mais par une matière similaire crée par moi-même, je suis le seul à pouvoir faire fonctionner l’espoir de l’humanité.
Si vous apprécier d’être sous une Monarchie somnolente, je suis dans la « désagréable » obligation de vous annoncer que vous aller assister à la naissance d’un Empire dictatorial sans précédent, et sans aucun échappatoire, et j’ose dire que tous les opposants ont déjà été, corrigé.
Comprenez, je suis le nouveau Dieu sur cette terre, l’humanité est à moi, à moi seul et je ne compte pas partager un pouce de pouvoir, cette humanité sera jeune, et d’ailleurs, si vous vous demander où ont put passer les cheveux blancs, regarder le nuage de cendre dans le ciel.
Je tuerais tout ce qui me déplaira, je ferais naître la perfection de la vie, je suis le guide, et parfois, des sacrifices sont nécessaires. Compter vous vous rendre utile, ou être corrigé ? "

Thomas observa le visage de Naël avec un regard réprobateur de bon père, lentement, la douleur que Naël ressentait, s’estompa, ses dents devinrent blanche et ordonné, le seul sang qui encombrait sa bouche était celui de la coulé passé, la joue, devint douce et son nez se redressa comme par magie, son corps allait bien, mais ses membres branlaient encore du message de douleur. Thomas la prit par le bras et l’épaule, délicatement, il la remit debout, la tenant par sous les bras pour éviter que ses jambes ne lui fassent défauts. Il lui sourit, lui fit un clin d’œil avant de la lâcher, ses jambes dorénavant stable, également en quelques secondes, le monde changeait, ou changerait grâce à lui, Thomas se savait le maître, Thomas était Dieu, seul Dieu vivant, et il s’aimait, il s’aimait comme il respirait… Le piano jouait, il l’entendait, le piano jouait sa gloire, sa grandeur malgré sa petitesse et son âge !
Ecartant les bras, il les leva vers le ciel, un ciel assombrit par la guerre et les explosions, depuis combiens d’année le soleil n’avait frappé comme un été naturel ? Depuis combien de nuits il n’avait pas vue les étoiles ? Pourquoi donc temps de souffrance si se n’était pour se jour, se jour où il savait, il connaissait, il créait !
Lentement, les nuages de fumés chimiques et de cendres décidaient sous un ordre sans précédent de laisser la vie, de faire passer la naissance nouvelle, le soleil… Un vrais jour se levait aujourd’hui, car Thomas n’avait plus espoir, mais le savoir absolue de sa propre création, il était fils de Dieu, il était Dieu, il allait vaincre, il allait être l’absolue de tout, et tout le saurait, et l’admirerait…

Mon corps ne cessait de trembler légèrement. La force du coup m'avait à fortement étourndi et ma vu restait encore un peu floue. Et pourtant, n'était sur et certaine d'avoir bien vu et entendu tout ce que le Chancelier venait de dire.
Comment avait-il réussis à acquérir autant de puissance en si peu de temps ?! Déjà qu'il possédait dans le creux de sa main toute la puissance militaire de la planéte, en plus, il avait réussis à pousser sa capacité jusqu'au....don !

Nous étions extrément rare à posséder un don et non une capacité. Un don s'acquière à la naissance, on ne peux pas se le procurer ainsi !
Et pourant lui ! Lui avait réussir à accomplir une tel chose !
Mais bordel de Dieu, QUI ETAIT-IL ?!

"et d’ailleurs, si vous vous demander où ont put passer les cheveux blancs, regarder le nuage de cendre dans le ciel. "

Ces paroles là, me glacèrent les entrailles. Il n'avait tout de même pas oser faire ça ?! Il ne s'était tout de même pas permis une telle barbarie ?!
Je ne voulais pas le croire, mais au fond de moi même, je savais parfaitement qu'il n'avais pas hésité une seule seconde pour tuer toute ces personnes, simplement en raison de leurs ages avancé.
Personne ne peux plus l'arrêter. Il n'y a plus personne d'assez puissant et surtout plus fou que lui, pour tenter d'arrêter cet enfant devenu en quelques jours seulement, une sorte de Dieu...non...Un démon...

"Compter vous vous rendre utile, ou être corrigé ? "

Mon corps ne cessait de trembler. Mais cette fois, ce n'était pas à cause du coup de j'avais reçu, mais simplement à cause de la terreur que me sussitait le Chancelier.
Pourtant, nous étions dans le même camps et cela m'apportait une sorte de " réconford ". Je préférais mille fois l'avoir comme allier que comme ennemis.

Je n'avais plus la force de me battre...Plus de force d'essayer vainement de controler les évènements...Plus assez de force pour ressentir tout ce chagrin qui m'écrasait...Juste assez de force...Juste assez d'espoir...Juste assez d'envie de vivre, pour suivre ces instructions et peut être même...survivre ?

Le soleil...Cela faisait bien une éternité que je ne l'avais pas vu aussi clairement...Il avait même réussis à ramener le soleil...Mais jusqu'où pourait-il aller....?

Mon visage était toujours ruisselant de larmes et mon corps continuait de trembler malgré moi. Je réussis tout de même à relever la tête et à le regarder en face, même si le regard du Chancelier était diriger en direction du ciel.
De ma voix légèrement chevrotante dut aux sanglot qui était toujours coincé dans le fond de ma gorge je réussis à dire :

" Je suivrais vos instructions..."

Thomas farfouilla dans les poches de son uniforme, au bout de quelques seconde, il brandit devant son visage une chose brillante, comme mille étoile, un mouchoir d’une matière surnaturel, il le secoua vivement pour le déplier, il était le double d’un simple mouchoir, et ses bordures étaient d’or, il s’approcha finalement, attrapa le menton de Naël de sa main gauche, l’obligent doucement à relever le visage, et appliqua le tissu sur ses larmes, aussi doux que du velours, d’un geste délicat, comme un caresse. Thomas observa Naël, glissa le mouchoir dans le corsage de la dame, sans effleurer sa peau, lui prit l’épaule, lui sourit.

" Bienvenue dans l’Empire Humain général Naël, j’espère que vous saurez supporter les responsabilités attitrées, et être fier d’être des nôtres. "

Il l’observa d’un œil critique, lui lâcha l’épaule, fit quelques pas en arrière, et se concentra sur le vestimentaire de Naël. Un malaise au niveau des pieds et des chevilles, ses vêtements se resserraient, ses bottes de manœuvre simple s’allongeaient, montaient le long de ses jambes, jusqu’en dessus de ses genoux, le cuir se resserra, se noircit pour finir par briller, tous lacets disparue, des bottes d’une seule pièce d’un cuir épais, brillant et plaqué de fer prirent lentement possession des ex bottes de Naël, son pantalon simple quand à lui tourna lentement à un gris claire, s’ornant d’une ceinture dont la boucle était à l’étendard de l’Empire Humain, une gain apparue sur le côté gauche de la ceinture, un revolver type SIG Sauer P226 l’agrémentait, et du côté droit, un fourreau maintenant une baïonnette de 8pouces (20centimètres). Son haut banal se resserra lui aussi, laisse naître deux ligné de boutons d’argent en son centre, des épaulettes de métal, de nombreux ornements dorées ou argentées, ainsi que les grades donné aux généraux… Sa coiffe fut elle aussi orné d’une casquette grise, frappé de l’insigne de l’empire… Un uniforme entier, jusqu'à même les armes !
Thomas l’observa un moment d’un œil critique, puis glissa sa propre casquette sous son bras, et applaudit, l’uniforme serrait la taille, les fesses et soutenait parfaitement la poitrine de Naël, lui affermissait le visage, et lui donnait une allure non négligeable, cette femme faisait peur autant qu’envie, la fermeté malgré le charme et la classe…
Thomas fit volte face, et tout en commençant à disparaitre, ne trouva rien de mieu, que de répondre à la question de Naël pour son ami Clad.

" Quand je vous est dit qu’il ne m’a pas laissé le choix, croyez vous vraiment que je peu ressentir la nécessité de mentir quand vous savez que je peu vous faire disparaitre en claquent des doigts, fait moi confiance, je ne tus pas les dragonniers pour le plaisir, mais je peu très bien me passer de vous. Il ya ceux qui veulent vivres, même si cela veux dire supporter, et ceux qui préfèrent détruire et fuir la dure réalité, ce n’est qu’une question personnel, voulez vous un jour voir l’humanité rire et pleurer de joie à la surface, une surface nettoyé, une terre libre. "

Je n'arrivais pas à y croire...Je pris soudain concience de ma situation. Le Chancelier venais de me donner un haut grade, pour que je puisse moi aussi participer à des action que je trouvaient jusque là, la plupart du temps arbitraire.

Je n'étais pas encore tout à fait à l'aise dans mon nouvel uniforme. Il me serait un peu trop pour l'instant, et j'avais l'impression d'exiber mes formes et cela me gênait particulièrement. Surement une histoire d'habitude, c'était la première fois que je portais un uniforme.

La réponse du Chancelier sur la mort de Clad me poussa à la reflexion.
Bien sure que je voulais revoir le monde revivre comme avant, je ne demandais que ça ! Mais, devoir en passer par là...par tout ces mort...par toute ces destructions...Cela me rendait malade...

Mais nous n'avion guère le choix. Je n'avais plus guère le choix. J'étais là, et c'était peut être la bonne solution. En tout cas j'esperais vraiment...

Bien qu'il me tournait le dos, j'enleva la casquette qui me coiffais et la mis sous mon bras. Tout en m'inclinant très légèrement je dis d'une voix neutre :

" Merci, de m'accorder une partie de votre confiance, Chancelier Seïnguir, je tacherais de remplir ma tache, le mieux possible. *

Mais au fond de moi, je ne pouvais m'empêcher de dire, que j'avais rejoind l'homme qui venais de tuer Clad. Je me sentais en quelque sorte sale et souiller. J'avais l'impression de trahir sa mémoire. Mais encore une fois, avais-je vraiment le choix ? Le monde était au bord du précipice et le seule moyen de l'en éloigner, c'était de rejoindre l'armée et les aider le plus possible dans les initiative et les batailles si possible.
C'était peut être égoïste de ma part, mais je voulais vraiment vivre.

* Dans quoi je me suis encore embarquer...? *