Pour tuer le temps.

Voila, pendants nôtres temps libres chacun à une tite
occupations, moi c’est le rp, mais bon ^_^ Un ami à moi, que je considère comme
mon professeur de tous les jours, écrits. Je voulais vous faire partager mon
plaisir pendant cette lecture, libre à vous de les prendre à la rigolade.

De l’Art d’uriner.

(Dont nous signalons en passant qu’il est sensé être
assimilé vers les 5 ans terrestres d’un individu humanoïde…)

Après avoir franchi une porte bleue, une petite bonne femme gravée dessus vous signifiant que vous avez emprunté le chemin attribué à votre condition, vous pénétrez dans l’univers sacré des latrines. Une vague de senteurs vous saisira les narines dès la première inspiration, il sera alors lieu de vous interroger sur l’évolution des pratiques sexuelles actuelles : Qui de l’homme ou de la femme marque son territoire de nos jours ?
Cependant, une effluve sang séché de bonne augure confirmera le caractère féminin des lieux, ainsi que la qualité de la fertilité de vos compatriotes.
Compatriotes dont vous pourrez d’ailleurs apprécier la compagnie et le soutien moral à votre présence en ces lieux compte tenu de la surpopulation dont sont victimes les toilettes féminins. Si vous n’êtes pas ici ans le but de vous repeindre la faciès devant le miroir mural, dirigez-vous vers une nouvelle porte sensée vous soler pour un tête à tête avec vos excréments.
Vous aurez alors le plaisir de constater que vos prédécesseurs ont laissés des traces, beaucoup plus concrètes que de simples relents, de leur passage : de traces marrons à tampons utilisés parsèment le sol comme fleurs dans les prés.
Maîtrisant votre dégoût, vous chercherez à vous enfermer à l’intérieur de cette pièce exiguë afin d’accomplir votre mission sans être surprise à moitié nue, quelle ne sera pas votre surprise de constater que le verrou est arraché !

(ca c’est une proposition de conclusion générale)
Comprenez que dans ces conditions d’existences, les sanitaires protestent auprès des autorités supérieures. Cette ignominie ne pouvant coexister avec le label rouge de notre établissement, les toilettes menassent de fermer leurs portes. En cas de besoins naturels effectués dans les couloirs suite à cette suspension, peut-être assisterons-nous à une fermeture du Lycée polyvalent Geneviève de Gaulle Anthonioz de Milhaud.

de Toato Von Seïgura

Question existentielle

Lorsque deux mouches se rencontrent, que peuvent-elles bien se dire ?

Il n’existe à ce jour aucun scientifique, philosophe, sage, poète (…) capable de traduire le langage du coléoptère. Au fond quel animal insignifiant, que l’on qualifie comme animal justement qu’avec un profond dégoût...
D’ailleurs cela se confirme par son mode de vie, il ne s’agit là que d’un parasite. Les mouches se réunissent dans des coins infâmes où elles peuvent trouver nutriment et confort de masse. Elles s’accouplent anarchiquement, ne se souciant que d’assouvir un besoin de reproduire la race à laquelle elles appartiennent, cela pour donner naissance à de nombreuses lentes (ou larves) et les laisser grouiller dans ce qu’on pourrait appeler résidu de société ou héritage qui se compose par un amas de saloperies comestibles.
Bref ces larves évoluent sur la même trace que leurs géniteurs, élevées dans la putridité dans le but de devenir une bonne grosse mouche à merde. C’est l’élévation sociale chez les mouches ! Finalement à force de vivre en une communauté de nombreux individus, l’insecte finit par se ramollir et se contenter de faire comme les autres, réduire peu à peu ses capacités devenues inutiles et préférer se réunir avec ses copains autour d’un très gros excrément.
Pourquoi ? parce que ça demande moins d’efforts…
Finalement on peut facilement imaginer leur conversation :

- Tu as vu qui a gagné la Star’Ac ?
- Non je regardais le match OM-PSG !

Mais encore une fois quelle importance ?
Puisque de ces deux grosses mouches devenues trop molles, une crèvera d’un coup de tapette et l’autre l’oubliera très vite, plus soucieuse de dégotter une autre merde…
Que le monde est bien fait !

de Toato Von Seïgura

Un texte qui n'a rien à voir avec le reste, mais mon ami m'a demandé de l'éditer donc je le fait, je m'excuse si vous vous sentez de trop sur se texte, c'est une sorte d'hymne à l'amour.

Le parfum de cette femme…

Etrange comme je l’aime sans savoir qui elle est réellement, l’observant chaque jour, je l’avais connue sans trop la connaître je me suis fait transparent dans un lieu inconnue aux personnes inconnue, instant de joie commun ou je n’étais pas incluse, j’ignorais qui serais la personne attendue de tous, j’ignorais tout d’elle, jusqu’a son âge… Puis elle est entrée dans cette fête qui lui était destinée, elle… Je n’étais pas préparer à voir cette fille rentrer, en un éclaire je me suis sentit comme gêné, comme trop faible. J’avoue l’avoir approché, j’avoue l’avoir désiré des le première instant, désirer ces lèvres si fines, sa timidité si pur, et son rire, un rire ou l’on ne peu s’empêcher de répondre au minimum par un sourire… J’aime cette femme, depuis la première fois que je l’est vue, mais je suis née en enfoiré, mes amis sont des ordures je suis un magouilleur, comme une femme si pur pourrait vouloir de moi, sauf sans me connaitre…
Elle m’a prit, elle m’a permit d’approcher ses lèvres, elles sont fuyante, je ne comprends pas, j’hésite me sens de trop, mais suis aveugle de toute réaction, je la veux prêt de moi, et à n’en pas croire mes habitudes, pas pour un soir !
Le temps passe, je la regarde, elle est prêt de moi, mais me semble gêné, comme si cela ne lui plaisait pas, ces lèvres fuient de plus belle, je ne cherche pas à comprendre.
J’apprends à mes tors qu’elle croit ne pas bien embrasser, mais exigerais-je autant ces lèvres si c’était le cas ? Je prends sa pour un prétextes pour me fuir, je me sens mal…
Elle me quitte, étrange comme je l’aime… Ne me séparent pas d’elle, le matin, devant son Lycée, étrange comme je l’aime… Le soir devant l’endroit ou elle m’a dit adieux, étrange comme je l’aime… jour après jour…
Elle décide de me parler, le soir ou j’ai déjà trop bu, trop consommé, et ou j’avais décidé de me finir avec mes amis, elle me parle, j’espère, elle décide de me laisser un message, j’en souris, elle est la, je le sais et le savait des que j’ai décroché et qu’elle a parlé. Elle l’a dit.
J’ai le feu du volcan, la chaleur du désert, la saveur de la terre, la lueur d’une lune claire, je n’est rien que dans le cœur l’immensité du ciel ouvert et me sens que de trop la joie monté en éclaire, étrange comme je t’aime.

tu devrais pourtant m'en vouloir...

je comprend pas trop l embrouille mais en tout cas pour

ca


ton hymne a l amour


quand le gars dis qu'il l aime je le crois pas

tout simplement parce que meme si c'et un magouillieur qu'il trainne avec des mauvais gars

si il l aime , il essyera d arreter ceci

mais il les a abandonné ^^ l'écrivain attend juste, une suite...

rien ne sert d attendre , faut allez la provoquer la suite

j'apprend que cette histoire n'a pas de suite, j'en ferais d'autres ^_^