De plus en plus, les gens sentaient une présence, mais rien ne changeait, presque rien… Chaque matin, un crie de surprise avant une injure envers la vermine, chaque jour, un pied qui écrase, un bras qui gratte, les objets moisies par une présence inouïe d’acariens commençaient à ennuyer les Habitant de la ville, même chez les gens qu’on l’on situait aisés, des plantes mouraient, infecté par des cochenilles, des pucerons ou autres bestioles…
Les gens sentaient une constante odeur de moisissures dans les rues, des odeurs parfois insoutenable, prêt d’une bouche d’égouts d’où s’échappe bon nombres de cafards, et d’autre rampant répugnant, recouvrant la ville d’un sentiment de sale, d’ignoble, comme si toute la ville était un énorme tas d’ordure, la vie n’avait jamais été facile, mais elle était maintenant insupportable… Les gens se préoccupaient tellement d’eux, que leurs ville ressemblait maintenant à une énorme benne à ordure, le Roi ne faisait rien, et la vermine était à un tel stade, que la lutte était perdue d’avance, ils étaient partout, les gens eux ne réagissait que d’une façon les écraser quand ils étaient chez eux, la rue ne les importaient pas, seul leurs petits confort… Et lentement, le petit grésillement de milliers de minuscules mouvements devint une routine comme une autre…