l'armée s'éveille

Dans les rues encombré d’ordures et de corps, les civiles survivants s’écartaient, certains s’inclinait, d’autre souriait, mais certains, plus réfléchit, s’écartait sans plus attendre… Les bruits de bottes retentissaient dans toutes les rues, se matin la, des milliers de soldats étaient sorties dans les rues de Nelya, en rang serré, dans leurs uniformes gris foncés, portant leurs grandes bottes de combat, et leurs casques de fer… Des soldats impériaux, un AK-47 parcouraient la ville, écartant tous sur leurs passages, les militaires c’étaient réveillés, et fort mécontent…
La plus imposante colonne était constituée d’une centaine de garde, de prêt de vingt sous officiers, un d’un jeune général, promus depuis seulement une semaine… Ils avançaient, imperturbable, une expression glacial au visage de chacun d’eux, comme si la haine qui habitait chaque habitant s’était accumulé en eux, comme s’il avait engrangé trop longtemps sans réagir, et vue leurs positionnement, le jeune général était de loin le meneur de se mouvement certainement non autorisé par son altesse le Roi de Nelya. L’homme se présentât avec sa troupe devant la plus célèbre des armureries de la ville, le général en premier, les sous officiers derrière lui, les militaires disposés à quatre mètres de distance de chaque côté de la route, cloquant l’accès, et empêchant les curieux de s’approcher. Le général s’avança, suivit de prêt par ses sous-officiers, il ouvrit la porte, l’armurier l’observait d’un œil soupçonneux, il comprit très rapidement en voyant les sous-officiers prendre position, et épauler leurs Tavor TAR-21, les viseurs dirigé sur sa propre personne… D’un geste vif, ces mains se jetèrent vers le ciel, sa vie était toujours plus couteuse que son matériel, mais aucune larme ne firent leurs apparitions, la panique était visible, mais la panique d’un homme vivant dans la guerre reste discrète. Le général fit un pas en avant, l’observa, le fit avancer, mettre à genoux, et menotter.

En vertu des pouvoirs dont je m’investie, Alfonse Rubert, vous êtes en état d’arrestation, pour acte terroriste contre l’humanité, en temps que tel, l’état se voie mandater en mon nom, et réquisitionne tous votre matériel sans exception, vous devez garder le silence, tous ce qui vous direz sera retenue sur votre anatomie.
Conduisez-le aux cellules du château !

Deux des Caporaux saisir le pauvre homme, et le confiait à une escorte de garde simple, il fut bâillonné et masqué sur l’instant, puis trainé vers le Château, dans toutes la ville, des coups de feux résonnaient des retissant, et des hommes se voyaient arrêté pour le simple fait d’avoir vendue des armes, et des centaines de soldats, ramenaient les armes au château, au cœur de ce qui allait bientôt devenir, une lueur d’espoir…

Cacher dans une ruelle sombre, juste en face de la boutique, je me contentais de regarder la scène d'un air le plus neutre possible.
Je ne comprenais pas du tout ce qu'il ce passait. Pourquoi arrêter cette homme seulement parce qu'il vendai des armes ? Nous en avons pourtant besoin, en temps de guerre, avoir une arme est vitale !

Et ce type...? Je ne l'avais jamais vu au par avant. Rien qu'à sa posture, sa façon de marcher et de s'exprimer....C'est un type dangereux....même très dangereux...

* Faudra le surveillé celui-là...*

Enfin, ils sortirent tous de la bouquite, embarquant le pauvre homme avec eux. Je ne put m'empêcher de pousser un soupire de lassitude et d'énervement.

* Mais qu'est ce qui ce passe ici merde ! On a déjà les Xanoiles sur le dos, faut pas en plus un sale type qui se crois tout permis ! Tiens...il semble se diriger vers une autre boutique. Je ferais mieux de les suivres pour vois ce qu'il compte encore faire...*

Dés qu'ils prirent un peu d'avance, je commença à les suivres discretement...

Quelques heurs plus tard, les militaires n’étaient plus dans les rues, ils c’étaient rassemblé en masse prêt des portes de la ville, des accès au château, et dans les différents bastions de la ville. La sirène sonna la fin du couvre feux, les gens hésitaient, entrouvrait leurs volets d’un geste hésitant, observaient les cadavres dans les rues, et ne sortaient presque pas… Certains mère ne purent rester en intérieur à la vue de leurs enfants trop lent trop rejoindre la maisons, maintenant étalé contre le pavé d’une route ensanglanté, la courbe du dos perturbé par des impacte de balles, et tranchés provoqué par une lame imposé avec force contre leurs chaires…
Le peuple avait peur, les militaires avaient frappé, en injuriant le Roi les civiles commençaient à se rassembler, se carnage ne pouvait être toléré… Mais que pouvaient ils vraiment faire, qui était cette homme, si jeune, si mauvais qui commandait à leurs armées sensé les protéger ? Qui était il pour appliqué pareille supplice, et enfermer temps de gens sans raisons que leurs commerces déplaisants ? Le peuple craignait une autre sortie, les quelques citoyens armée avaient pris leurs armes, et les distribuaient à leurs amis, leurs femme et leurs enfants. Lentement, le château ferma ces portes, les militaires se présentaient aux murailles, leurs équipement nouveau faisait sentir l’envie de meurtre qui habitait maintenant ces déments…
Thomas quand à lui, observait la ville du haut de la muraille, elle allait radicalement changé… Son regard lentement se posa sur une civile, étrangement vêtue, à la chevelure bien plus que visible à tel point qu’une s’étonna de ne pas l’avoir remarqué avant, mais apparemment, elle l’avait remarqué, et ne ressemblait en rien à une de ces petites paysanne toute fraiche baisable que l’on retourne au petit bonheur la chance… Thomas appelé un sous-officier, celui fit quelques gestes vers la ville, la femme changea d’endroit, mais déjà un soldat venait l’interpeller passivement, le général voulait la voir, rien de plus.

* Mais qu'est ce qui ce passe ici ?! *

Cette fois, c'était vraiment sérieux. Je le distinguais du haut des muraille du chateau, son regard balayant la ville terrorisé. Mon regard se fit glaciale et ma machoire et mes mains se crispèrent légèrement.
A ma grand surprise, son regard croisa le mien. Je ne lacha pas pour autant. Pendant ces quelques secondes, je sentis un frisson désagréable me traverser tout le corps. Cette homme était vraiment dangeureux...Un Homme...? Je commençais à avoir des doutes là dessus...
Je le vis faire un petit signe à un de ses sous officier qui arriva rapidement et sembla me désigner discretement.

J'allais bientôt être de trop ici. Il falais mieux que je parte avant qu'une autre tuerie n'est lieu...
Je savais qu'il falais faire quelque chose, mais surement pas maintenant...Avec tout les hommes armée qu'il y avait au mètre carré, faire une contre attaque ici et maintenant serait du pur suicide.

Alors que je me retournais et commençais à reparti, un homme en uniforme m'interpella...

Le fantassin, dans son armure de plaque, portait son fusil en bandoulière, et donc n’était en rien menaçant, mais semblait méfiant… Il avançait lentement, la main sur la sangle de son fusil, prêt à le faire passer entres ses mains. Il se présentât devant la dame aux cheveux roux, fit un salut militaire, jeta un regarde rassuré derrière lui, et derrière la femme en question, d’autres fantassin venaient, il attendit une petite minute, le temps d’être une vingtaine, et s’avança de tel sorte qu’il se présentât à deux mètres de la personne à interpeler.

" Le nouveau Chancelier de l’Humanité autoproclamé Thomas Seïnguir exige votre présentation au château, dans la salle du trône, veillez nous suivre sans opposer la moindre résistance, ou vous serrez abattue sur l’instant. "

Il fit un pas en arrière, prit son fusil, mais ne le pointa pas vers la femme, les autres soldats firent de même.

Je ne pris même pas la peine de regarder autour de moi, pour voir que j'étais totalement encerclé.
Malgrès moi, un tout petit sourire se dessina sur mes lèvres :

* Thomas Seïnguir... nouveau Chanceler de l'Humanité hein...? Voila quelqu'un de bien ambicieux. Il dois savoir que je suis un des fondateurs de l'orphelinat. C'est surement le genre de personne à ne pas laisser un détaille au hasard. Si il a réussis à s'autoproclamer Chancelier, c'est que ce type a de la suite dans les idées...Thomas Seïnguir....Tu m'intrigue autant que tu m'effraye...*

Sans que mon sourire ne s'éfface un seul instant, je répondis le plus simplement possible :

" Très bien Messieurs, je vous suis. "

De toute façon je n'avais pas le choix. Vingt conte un, don ou pas, tenter une attaque ne serait que pure folie. Et puis...Je voulais rencontrer personnellement ce Thomas Seïnguir...je sentis mon estomac se contracter.

Entre appréancion et existation, je laissa les soldats me conduire jusqu'au chateau...