Directement après l’arrestation massive de tous les vendeurs d’armes, les gens s’inquiétaient, les commerces paniquaient, des boutiques fermaient, des gens couraient se cacher, et des milliers de militaires continuaient de s’écouler du château, toute l’armée, les troupes d’infanterie en côté de maille équipé de leurs traditionnel épée à la ceinture, mais une innovation terrifiant ornait leurs épaules, des Walther G43, des fusils semi-automatiques ! Chaque militaire de l’infanterie en portait un, et les gardes impériaux imposaient leurs puissance de feu par présentation de leurs AK-47 dans les grandes rues, ou centre de rassemblement, les foules était dispersé, l’amassement de plus de trois personne interdit, en quelques minutes, plusieurs centaines de coups de feux retentirent, les gens avaient eu ordre de rentrer chez eux, et de fermer porte voler et fenêtre, sous peine d’une mort à vue…
Chaque armurier était maintenant en prisons, et lentement, les militaires se positionnait devant les boutiques d’armure et d’objet protecteur de toute sorte, un sergent, deux caporaux, et dix militaires, réplique parfait d’une arrestation de pendant les anciennes guerres… Chaque marchand d’objet utile à une guerre se voyait envoyé en prisons, de gré ou de force, ou même parfois, abattue sans sommation… la fureur d’une humanité en rébellion se faisait sentir, autant venant des militaires dont le comportement montrait maintenant clairement que le Roi ignorait même se qu’il se déroulait dans ces rues, que des civiles reculs chez eux écoutant les supplications d’homme innocent, ou du moins, approximativement honnête… Le jeune général avait rejoins la porte du château, et observer les allé et venue des équipements et prisonniers de guerre, essayer de vendre des armes à l’état… L’état qui les protégeaient, qui les nourrissaient ! Des terroristes, tous des terroristes, ils devaient mourir, tous mourir !
Bientôt plus de dix-milles militaires arpentaient les rues de Nelya, abatant chaque civile apparent, hommes, femmes, enfants, poupons ! Les sommations avaient été répété suffisamment de fois, le pardon n’était plus d’actualité, l’armée devait remédier à cette misère ! Et il en serrait ainsi, que le peuple le désire, ou qu’il s’en répugne !
Thomas Seïnguir, général des forces armée survivante de l’humanité allait sauver sa race d’une extermination certaine, et le Roi allait entendre parler de son point de vue de simple militaire…