Coins reculé de Neyla

Haku avait quitté la bataille du bunker, elle etait finis, mais le choc electrique m'avait grandement affecté, ou plutot , mon armure et son fonctionnement.
Je me dépéchai de l'enlever...et me tordais en deux
AAAAAAH , SA ARRACHE !!
Mon cris de douleur resonnait dans toute les rues de la ville.
Je sentais l'air caressé la peau sensible de mon visage.
Je restais ici , en silence, torse nu , encore humide... Je m'etais assis, la main contre le visage, la tete baissé. Je me remettais peu a peu de tout ce que j'ai pu voir.
Dans ce choc, j'ai pu voir de nombreuses choses, moi dans ma vie anterieur...

Le jeune dragon enmena Nael sur l'endroit. C'etais un coin sombre... De l'eau etait encore au sol. Mais aucune trace visible n'etait presente. Keiga pris la parole
" Le niveau d'invisibilité a du augmenter, je ne sent meme plus son odeur... Mais il avait dit une chose "
~ Je me souviens de qui j'etais ~
" Et apres cette phrase, il jeta son masque, mais je n'ai pas vu son visage. Comme tu peux le constater, il fait extremement noir ici. Je m'inquiete beaucoup "
Keiga et Nael etaient la ... Dans ce cul-de-sac...

Je continuais de regarder partout tout autour de moi. Aucune trace d' Haku....

* Mais où est-il bon sang ?!*

Je commençais vraiment à m'inquièté. Qui sais ce dont était capable Haku...Et pourquoi étais-t-il parti si précipitament ? Est-ce de ma faute ?
Et même Keiga ne sentais plus sa présence...

" HAKU !" criais-je dans le noir.

Aucune reponse bien sure...Je concentra un peu d'électricité dans ma main, juste assez pour éclairer le chemin, regarder au alentours.
D'un pas déterminer, je m'enfonça dans une ruelle sombre, suivit de près pas Keiga...

" Naël ... Je n'ai plus l'armure, elle a disparus ! Je ne sais pas quand ni comment , elle a juste disparus !"

"Disparu ? Comment ça disparu ?! Une armure ne peux pas disparaitre comme ça..."

*Il faut le retrouver rapidement, avant qu'il ne lui arrive quelque chose de grave...*

d'un pas plus précipité, je continais de m'enfoncer dans les ruelles de plus en plus sombre, et de plus en plus lugubre...

" Malheureusement si ! L'armure a disparus sans que je m'en rende compte, je vais essayer quelque chose ."
Keiga volait un peu plus haut que de coutume, se mettant en boule, au centre, une lumiere jaillissait.
" NAEL ! JE L'AI TROUVE IL ME SEMBLE ! JE SUIS PAS SUR QUE CA SOIT LUI !! MAIS ALLONS VOIR , IL EST TRES LOINS !! "

" Tentons notre chance !"

Je grimpa rapidement sur le dos du jeune dragon qui m'ammena à l'endrois où j'esperais enfin retrouver Haku...

Les soldats en tissu vert les avaient trouvé, ils étaient descendu dans toutes les maisons de retraitent, et presque toutes les maisons civiles, toutes les grands-mères, femme d’âge honorable, elles ne se connaissaient pas pour la moities, ne c’était jamais vue, elles avaient vue la violence, entendu et pour certaine, vécue, mais ne s’attendaient aucunement à être déplacé de la sorte, la suite des évènements étaient logique… Toutes s’attardaient, tombaient, ralentissaient ou encore fondaient en larmes, personne pour les voir, que quelques yeux hésitant entres deux volets… les gens obéissaient au couvre feux qui s’instaurait d’une manière hasardeuse durant toute la journée… Elles voyaient l’étendue de leurs vie sur ces dalles de pierre froide, presque toutes ces femmes était peu vêtue de par le fait cas leurs âge, on ne sort plus beaucoup… Le froid des dalles leurs traversait le corps à chaque pas, mais leurs esprit bouillonnaient de peur, de remords, d’envie…
Les vieilles femmes avançaient ainsi en cortège compacte entres des soldats étrangement vêtues, de simple vêtements de tissu, des rangers antique, des casques tout aussi vieux que leurs rangers, et des armes que même leurs âge ne leurs avaient pas permis de connaître, ils étaient des milliers à encadrer se cortège, mais qui étaient ils ?
Ces hommes, au crâne rasé pour ceux qui ne portaient pas leurs casques, à la musculature proéminant sans membre robotique avait un visage de pure violence, les soldats cybernétiques n’avaient jamais eu autant de haine au visage que ces petits hommes nerveux… Ces humaines l’était moins que des machines, tenant leurs armes contre eux comme si elles étaient leurs seul raisons de vivre, le regard froid balayaient les carcasses encore vivante de femme aillant le triple de leurs âges, et sans le moindre remord, sans la moindre pitié, les faisaient avancer dans les rues, vers des endroits très peu fréquenté de la ville…
Au bout d’un certain moment, les milliers de femmes furent dispersé en deux groupes, dans deux grandes allé sans route adjacente, mais au bout de ces deux rues, deux portillons militaire ouvert vers l’extérieur… Les femmes n’attendirent pas la nuit quand les militaires leurs dirent de partir, mais certainement ne firent que s’agenouiller, n’aillant pas la force, la volonté, ni l’envie de quitter leurs ville natal, leurs enfants et leurs petits enfants… Certaines jeune de 50ans, couraient vers la sortie, les plus âgées faisaient de leurs mieux, mais restaient lente…
Des soldats s’avançaient lentement, faisant claquer leurs bottes sur le dallage, ils prenaient un réelle plaisir à s’imposer, et se plaçaient derrière chaque femme aillant décidé de rester, abaissaient leurs armes, et dans un tir unique, leurs traversaient le crâne, de part en part… Les autres femmes, aux mouvements, jeune ou vieille prirent un élan redoublé, forçant sur leurs faibles musculature jusqu'à l’épuisement, ces rues faisait un bon kilomètre, le but, passer la muraille cout que cout…
Derrière cette cours folle, un lieutenant des unités spécial de sécurité s’avança entre les soldats S.C (Soldats-Civiles), prit son sifflet, et le fit crisser le plus fort possible, le laissant reposer autour de son coup, il laissa naître sur sa face ignoble un sourire psychopathe…
Les femmes couraient quand elles entendirent plus bruit, et coururent d’avantage après, mais c’est seulement en se rapprochant de la muraille que les jappements leurs vint aux tympans, des chiens ! Les femmes s’immobilisaient, une à une, observant le bout de la rue avec espoir, mais lentement, leurs face dégoulinant de devint plus qu’un masque d’horreur, des centaines de dobermans, la bave s’écoulant abondement de leurs gueule aux crocs présentés, et derrière, d’autres Soldats Civiles…
Les réactions étaient différentes, certain couraient en arrière, et se faisait abattre par les S.C, d’autres tombaient tout simplement à genoux et priaient, et certains autres frappaient les portes de la ruelle, griffant le bois, la pierre pour se faire un passage, mais qui ouvrait sa porte, subirait le même sort que ces dames…
Ainsi, progressivement, toutes les vieilles femmes de Nelya, furent dévoré, abattue ou simplement moururent d’arrêt cardiaque, et leurs corps furent bruler par petit tas tous le long de la ruelle.