La porte de la boutique vola en éclate, sans comprendre tous les occupants du magasin, réfugié depuis le couvre feux se jetaient face contre terre, un hurlement, dix sifflement aigue tranchant l’air, un bruit de choque, le raclement du métal… la chaleur d’un liquide sur le visage d’un enfant, des larmes, le rouge de la vie partout, encore des sifflements aigue, des cris, beaucoup de cris, des bruits de botte, une vitre viens de seder… La panique, beaucoup de peur… mais que se passe t’il, pourquoi, qui, pour qui ?
Un enfant pleur, des bottes s’avance, un crâne viens de céder, l’enfant pleure, les bottes avance, un homme à tiré, l’enfant hurle, les bottes s’arête, la chaire déchiqueté grillé par la chaleur des balles, l’enfant gémit, un soldat rie… L’enfant hurle de nouveau, trois soldats parle fort, et frappe… l’enfant vomit, un soldat gémit, les autres ries à gorge déployé, pourquoi nous ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi lui… Je me lève, et cours, je cours de toutes mes forces, je cours vers la vie, la vie m’appelle, le soldat prend plaisir, un autre hurle après moi, l’enfant pleure, mais ses larmes sente l’espoir, sa voie me crie la chance, je dois vivre, je peu vivre, je n’est rien fait ! Je voie la porte, les soldats sont trop loin, je voie la lumière du dehors, je voie la porte !
La porte ne bouge plus, un éclaire à frappé derrière moi, j’ai vue de la lumière, un autre éclaire, puis encore, le ciel se déchaine pour m’enlever l’espoir, je sens le vent de la ville caresser mon visage, un choque se produit en ma personne… un simple choque, mes genoux ont touché le sol, pourquoi ? Je veux courir, je veux vivre, l’enfant hurle… j’embrasse une dernière fois le sol, que je le veille ou non, le corps est trop faible, je sens le froid dans mon dos, j’entends des bottes, un soldat m’injure, l’enfant ne fait plus de bruit, je n’entends plus sa respiration, pourquoi lui ? pourquoi moi ? les bottes s’arête, et je m’arête, la vie est trop bête… tout sa pour une simple ambition, et moi, je n’est pas eu le temps d’acheter de la nourriture en boite, je n’est pas eu le temps de mourir pour l’enfant qui git, le crâne ouvert auprès de ces parents perforés, je suis un fils du ciel, je veux vivre, je veux pouvoir sourire une dernière fois, et même si je meurs maintenant, je suis heureux, heureux que cette enfant ne soit pas resté en vie pour voir l’horreur de ces parents, heureux qu’il n’est pas vue les corps mais le planché pendant que se soldat le montait… Maudite soit la vie, maudite soit la mort… Le son du revolver résonnât dans la pièce, Philipe Marcial venait de trouver la mort, et les soldats s’emparaient de tous le matériel possible… Maudite guerre…
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Dim 23 Déc - 22:18
