La boutique de botanique était en plein milieu de la zone résidentiel, endroit très souvent fréquenté depuis le début de la guerre, ne fusse que pour des remèdes aux fièvres, et les quelques blessures qui s’infectaient plus vite que jamais. Gorge la Rose n’avait plus manqué de client depuis des années, plusieurs braquages avaient été vécue à son égard, sa boutique attirait les gens donc l’argent, et ces soins n’étaient pas gratuits, pour ne pas dire, très chère, Gorge la Rose était un brave homme avant la guerre, il aimait s’occuper des gens, s’occuper des plantes, il fumait souvent un peu de cannabis avec la jeunesse de son quartier, s’amusant à philosophé sur un futur vert, mais depuis la guerre, il profitait de son savoir, c’était comme un aiment de pouvoir constant… Il ne faisait de mal à personne, juste des payements en nature, du troque, d’argent, d’objet et parfois, de gens, mais ces nombreuses esclaves n’avaient jamais eu à se plaindre, dans l’anarchie qu’était devenue la ville, leur " prison " était plus un nid chaud et sans danger qu’autre chose, mais aujourd’hui, juste avant d’aller manger, Gorge la Rose allait payé bien chère ces pauvres pêchers…
La rue était déserte, il avait vue bon nombre de militaire passer, il avait entendue la rage, des pleures et des cris de paniques en aussi grand nombre que d’ignoble cris d’adieux… Gorge était terrorisé derrière son comptoir, ces deux hommes de mains sensé assurer la sécurité de la boutique et de Gorge étaient eux aussi derrière le comptoir, immobile, leurs armes en main, mais si les militaires venaient, comment réagir ? Tirer sur des hommes de l’état ? Certainement pas, mais s’il m’était leurs employeurs en état d’arrestation, comment allaient ils vivres, mais s’ils tiraient, aillaient ils seulement vivres ? Les deux gardes du corps ainsi paniqué ne pensaient même plus à leurs employeurs, celui-ci, sortie de sa cachette observait la rue, serrant une fleur jaune dans sa main droite, immobile, il observait une coupe mi-long de cheveux noirs, une silhouette fine, mais un œil menaçant, une démarche orgueilleuse, mais pleine de violence… Chacun des pas du jeune homme rappelait sa prestance, et sa motivation, c’était un monstre, un monstre en uniforme, accompagné par des êtres sans âmes, le suivent sans mots dire, pareillement lassé d’observer une anarchie constante, mais aillant eu une réaction de déments…
Lentement, les deux hommes de mains virent une fleur, jaune comme un soleil d’espoir, la fleur virevoltait, comme un ralentie significatif d’évènement dramatique, ils l’observaient et dans leurs cœurs, une sensation de bien-être naissait, comme si toutes ces journées de guérilla, et braquage était récompensé, une libération de leurs âmes fautives, chacun d’eux avait tuez, tuer autant d’homme que cette fleur avait de pétales, mais c’était pour le bien d’un autre pensaient ils, pour sauver la vie du marchand, mais abattre un homme qui ne désire que vivre, et est prêt à tuer pour un médicament, es-ce vraiment bonne action ?
Quand la fleur toucha le sol, les deux hommes eurent un quasi sursaut, leurs rêves était fini… Et proche d’eux, des bruits de métal et de bottes se firent entendre, un talon heurta le planché de la boutique, et un homme énonça une sentence, le marchand se jeta en arrière, contre le rayon des crèmes de soins, les bras devant son visage, les larmes parcourant son visage, son expression était horrifié, ces yeux exorbités s’alliait à ces veines saillantes, ces tempes écarlates faisait comprendre sa situation à qui avait un cœur, cette homme était déjà mort dans l’esprit, il n’arrivait pas à concevoir la réalité de l’échec d’une vie de succès malgré le déclin de celle des autres, simplement par la pression musculaire sur l’index d’un homme moyen moins âgée que lui…
Les deux hommes derrière le comptoir virent le rouge de la vie éclaircir la panique du marchand, celui-ci, s’écroula lentement, ces genoux frappaient le sol avec violence, rapidement suivie par son tors… Son nez s’écrasa sur le sol, les veines interne éclatèrent, laissant couler sur le plancher une marre ignoble d’un sang trop sombre… les yeux exorbités du marchand, fixant la fleur de soleil, posé devant lui, sur le planché. D’un geste vif, les deux hommes se levèrent, les mains au ciel, l’espoir d’une vie heureuse peint sur leurs visages, la peur aux yeux, et la terrible sensation d’acte stupide dans les jambes, ainsi dressé sur leurs jambes, ils retournaient voir la fleur, dans des rêves pleins de couleurs, dont ils ne sortiront plus jamais…
Les gardes impériaux abaissaient leurs armes, trois mort dans cette boutique, voila qui saurait faire taire les agressif… Les soldats d’infanterie rentrèrent dans la boutique, ravageant les rayons équipés de leurs sacs, ils ne laissèrent rien, pas une branche, ni même une feuille, tel étaient les ordres, l’armée s’éveillait !