Chambre de Nerwen

*Tu a étais impliqué dans beaucoup d'histoire où tu n'avais pas lieu d'étre ces derniers temps... Et passer de princesse à Taeth... C'est pas cool. A ce compte là, autant l'appelé Taeth, dès le début.*

"A vrai dire, je pense que Laguna avait des espoirs, que j'ai brisés... Mais ce n'est que spécuation, il a Naël qui .. Tiens énormément à lui, je pense vraiment qu'il l'aime, au fond de lui. Celui que tu génera peut être est Clad... N'en parlons pas, ce n'est aussi qu'hypothése. Mhh... Tu deviens quoi?"

Elle posa la question sans vraiment porter d'interet à la réponse, elle était de nouveau perdue dans ses pensées, ne sachant que pas assez pourquoi Nerwen était là. Elle savait comment il avait trouvé l'endroit ceci étant...

Lorsque j'etais sortis, j'ai pu entendre ce que Taeth avait dit a Nerwen.

"A vrai dire, je pense que Laguna avait des espoirs, que j'ai brisés..."

De son couloir, Laguna ne put s'empecher de murmurer
" De l'espoir vis a vis de quoi ? "
Laguna ne savait pas si Taeth avait entendu cette reflexion, et a vrai dire, il ne s'en preoccupait pas plus que ça. Apres tout, pourquoi quelqu'un voudrait il s'attacher a une telle personnalité ?...

Nerwen observa un instant Taeth, dubitatif il tenta de se redresser, et voyant que jambes flanchait, il dut se forcer à se rassoir, mais lentement, seconde après seconde, le cœur ne lui était plus de rester ainsi immobile… il devait se lever, marcher sortir de cette pièce, s’éloigner de se doute, s’éloigner de cette crainte, il n’avait déjà pas toute sa tête, que le peu qu’il lui restait d’encore intacte venait de prendre un choque… Il ne supportait pas cette sensation d’incertitude, reconnaissait les souffrances de celle qu’il aimait, mais reconnaissait ces sacrifices, peut-être insuffisants, mais extrêmement conséquents… Des faut espoirs aux autres peut-être, mais devait il s’inclure dans ces mots ?! Après tout, lui l’avait fait souffrir, bien que les méthodes de Taeth pour le décourager de s’attacher à elle était des plus radical elles aussi… Il l’aimait, mais devait la laisser, elle semblait le vouloir, quel folie lui à prit de s’enfuir ainsi, quand le résultat était tel, il était maintenant désireux de rester lui-même, mais savait au fond de lui, que cela ne durerais pas.
Son cerveau soufrait de temps de pensées inutile, pourquoi se tracasser sur un sujet qui le rattraperait tôt ou tard ? Il saisit la chaise la plus proche, et s’en servit de canne pour se soutenir, lentement ses frêles jambes se dressaient, presque entièrement rigide, un peu molasse sur les articulations des genoux, mais la souffrance était minime, et son périlleux voyage l’aidait à ne pas trop y penser, bien que sa constitution ne soit pas celle d’un guerrier. Et sa voie sur un timbre des plus ironique s’éleva à peine d’entres ces lèvres, comme si la chose ne valait pas l’effort d’être dit plus fort.

" Princesse, je vous souhaite une bien belle journée, l’effort que me coute de parler à un fantôme sera toujours supérieur que celui de me trainer jusqu’au trône. Et si vous voulez bien vous donner la peine de fermer la porte après votre passage, en cas inverse je me ferais le plaisir de cette exercice, bien à vous. "

Inclinent la tête en signe d’un respect donné par principe plus que par bonté d’âme, il s’en retourna à sa propre analyse, il ne saignait plus, n’avait plus mal aux côtes, juste la douleur de la peau tendu et des muscles encore habitué à la contraction constante. Observant ces vêtements, il découvrit que sa belle chemise blanche d’époque était souillé par son sang sur tout un flanc, ainsi que son pantalon, bien que sa couleur soit de naissance rouge, l sang était bien plus sombre, et bien plus puant… Il lui faudrait rapidement une tenue digne de sa personne, il ne pouvait vivre dans pareille guenille, il pensait aussi à descendre dans les rues aller se chercher une canne, comment vivre sans une canne sauf être un sauvage… De surcroit, ces quelques lointaines études lui indiquaient clairement que sa jambe du côté de l’impacte allait longtemps l’élancer… Lentement ces yeux revinrent sur une Taeth toujours assise, il se moquait bellement de ce qu’elle devait penser, elle l’incommodait !

" Dans l’éventualité ou dans vos souvenirs j’étais un gentleman madame, sachez que cette instant fut réciproque, mais sur l’instant vous êtes d’avantage un gêne qu’une personne, alors à moins que vous ne soufriez qu’une paralysie général ce qui m’obligerais à vous faire passer le seuil de la porte moi-même pour pouvoir la fermer, je vous serais extrêmement reconnaissant de passer le seuil avec vos seuls souvenirs pour éventuellement vous réconforter, inutile d’ajouter une remarque cinglante, d’une elle ne m’affecterais pas, et de deux je ne prendrais même pas plaisir à vous rétorquer. "

Taeth le regarda et lui sourit. Ce qui fut dans le contexte extraordinairement déplacé.

*Si je deviens une géne, alors c'est le mieu*

"As-tu eu besoin de me faire sortir de force ?"

Elle emit un rire critalin.

"Je sors, si tu à besoin de quelque chose, alors dit le moi."

Elle désigna de la tête la chemise de Nerwen, et s'exécuta d'un pas léger, fermant la porte avec douceur, le regard vide.

Nerwen observa son départ du coin de l’œil, un sourire moqueur aux lèvres, cette Taeth semblait vraiment se faire oublier, cela ne lui posait aucun problème, il avait trouvé un endroit ou se reposer, et mettre ces idées en applications, mais avant tout, il avait besoin d’une aide extérieur, il manquait de force et de moyens… Mais pour l’instant et en attendant le retour de la femme qui sentait chaud et qui respirait trop humide, il devait faire son possible seul… posant la chaise derrière la porte, bloquante le dossier sous la poigné plaqué or de la porte, et se redressa avec difficulté, observant les vieux mures creux, un paradis miniature, ses yeux vert s’exorbitaient et de nombreuses veines firent leurs apparitions, lentement, il surveillait que son pouvoir soit bien présent, et il l’était ! Ainsi que les éléments nécessaires à son utilisation, ils étaient innombrables, cet orphelinat, ces mures ces vieilles portes de bois, ces poutres ! Tous sentaient la vie, et Nerwen les appelaient lentement, les mures grouillaient au point qu’un murmure se fit entendre dans toute la pièce, venant de chaque façade ainsi que du sol, du plafond et de la simple porte, un murmure de milliers de frottements, de cliquetis comme deux pierre se touchants sans parler de ces innombrables bruit d’articulations protégés… Tous ils l’entendaient tous, mais pour l’instant se n’était pas trop dur, se n’était même pas grand-chose, lentement il entrainerait son pouvoir et sa science à contrôler toujours plus imposant, menaçant et mortel…

" J’ai ce que je mérite, mais je sens que j’aurais beaucoup de travaille avant de pouvoir œuvrer en paix, je sens que d’autres ici se méfit de moi, mais ma présence de devrait pas les importuner n’es-ce pas ? "

Lentement ces yeux se refermaient, son visage se crispait, et son sourire amusé se transforma en une démence évidente, signe de longue année de contenance excessive dans un cerveau apparemment trop étroit pour toute cette haine qui remplaçait de loin son manque de puissance, il montrerait ce qu’il est, non pas un fils bourgeois qui a tout eu pour réussir et a décidé de tout plaqué pour survivre, mais l’homme qu’il était, toujours obstiné dans son désire d’accomplir des choses nouvelles, haïr les autres sans avoir à supposer une réplique physique, les méprise sans même espérer une réplique cinglante, et surtout, que ces chères et si nombreux enfants, trouvent leurs placent et soit reconnues comme utiles à la race dite « humaine »… Son esprit de mégalomane légèrement suicidaire et peut-être trop décalé de la réalité subvenant au besoin mentaux de ces autres attardé de consommateur pouvait enfin se relâcher dans se misérable endroit ! Toutes ces années ou Taeth était partie, il n’avait cherché que sa, pour la retrouver… et maintenant qu’elle tenait à le faire disparaitre de sa vie ! Pourquoi se gênerait-il pour continuer ses projets ? Lentement un rire démentiel de pur orgasme professionnel s’éleva de sa gorge, l’accomplissement de toutes ces études se passeraient donc la…

Je m'approche de la porte et posa ma main sur la poigné. A ma grande surprise, la porte ne souvris pas. Je força un peu plus, mais la porte ne bougea toujours pas. Qui avait bloquer cette porte ?! Tsss...ça ne pouvais être que Nerwen de toute façon.

* Mais il est déjà pas bien ce type ? Son état et très instable et lui, il s'amuse à s'enfermer dans sa chambre ?! Bon, à la guerre comme à le guerre...*

Sans attendre une seconde de plus, je recula légèrement et d'un bon coup de pied, j'ouvris la porte à la volé.
Heureusement pour moi, les gons avaient tenu bon, sinon Clad ou Laguna m'auraient passé un sacré savon...

Je vis Nerwen assis sur son lit. Son état s'était tout de même amélioré mais il restait tout de même très faible.
Tout en m'approchant près de lui, je tempesta :

" Mais ça va pas de t'enfermer dans ta chambre comme ça ?! Si ton état chutait brutalement et que je n'aurais pas put ouvrir la porte, tu aurez fait quoi la gros malin ?! Tant que tu sera pas totalement guéris, ta chambre dois rester à disposision ai cas où ?! Je suis bien claire la dessus ? "

Nerwen observait le spectacle d’un œil critique, il observait ces lèvres bouger pour exprimer la rage qu’elle avait d’avoir du forcer sa chambre… Mais il n’y pensait pas encore, il constatait les étranges coïncidences de la vie, il pense qu’il a besoin d’elle, et elle défonce sa porte, ironie amusante et satisfaisante… Son état de santé, depuis les soins, médicaux et magiques qu’il avait subit, il n’avait plus que des nausées et des tremblements de jambes, il était hors de danger depuis déjà quelques temps. Une fois que Naël ut fini de parler, Nerwen se fit une joie de reprendre la parole sur un ton amusé et légèrement moqueur, tout en restant respectueux.

" Je trouve assez amusant le fait qu’après avoir défoncé ma porte, vous me passer un savon, sans parler qu’il s’agit de la chambre que vous m’avez attitré. Mais je n’est pas été très loquasse ces derniers temps, permettez moi de vous remercier pour votre aide disons vitale et de me présenter, je suis Nerwen Seïgura, fils second de la noblesse contrôlent prêt du quart des terres nord de notre beau continent, partie à la recherche de connaissance et de possibilité ainsi que d’une personne ressèment retrouvé. "

Il se redressa temps bien que mal, la main posé sur l’un des rebords du lit pour garder un équilibre optimal, s’avança légèrement, et s’inclina avec difficulté, soufrant de son flanc autant que de ses jambes, se redressant avec un sourire crispé, les veines bombé et la peau rougie de douleur, mais, toujours le sourire.

" Et l’effort ne m’empêchera jamais d’accomplir les politesses du à une damoiselle d’un tel charme, mais je n’aimerais pas passer pour pompeux avant l’âge, je suis enchanté d’avoir fait et de refaire votre connaissance. "

Ma colère partis aussi vite qu'elle était venu.

* Fils d'un noble ? Comment en est-il arriver là...? *

Quand je vis son sourire crispé de douleur je m'approcha de lui et posa doucement mes mains sur ces épaules et tout en le faisant doucement assoire sur son lit je lui dit :

" Aller assis toi donc Nerwen. Ton corps est encore fragile alors ne bouge pas de ce lit jusqu'a que je te juge apte à te lever. "

Je laissa un petit silence, puis je lui demanda :

" Tu veux bien enlever ton haut pour que je puisse regarder l'état de tes cotes ? à la grimace que tu as fais, je voudrais voir si tu n'as rien de casser ou quelque chose d'autre..."

Nerwen fut surprit de la réaction de Naël, il ne voulait pas enlever son haut, les morsures des puces qu’il abritait était nombre sur ses flancs, et se n’était pas très beau à voir, d’innombrables petites croutes de sang couvrent un flanc des aisselles aux hanches, le faisant plus ressembler à un nid qu’à un être humain… cette cicatrice de balle ne faisant que rajouter à la quasi horreur de son corps. Nerwen se laissait faire, acceptait de s’assoir, mais saisit sa chemise tel une relique.

" Je vais bien mieux, n’aillez crainte pour ma personne, mes quelques années d’études de la médecine m’ont permit de savoir qu’il n’y avait que l’ex présence d’une balle entre mes côtes qui puisse encore m’incommoder.
Mais j’aimerais par ailleurs prendre connaissance, si cela ne vous dérange pas, de l’endroit exact où je me trouve, ainsi que des personnes autres que celle déjà vue y résidant. "

Je ne pris pas mal sa réaction. Je ne voulais pas le pousser en quoi que se soit.

" Tu es ici à l'Orphelinat des dragonniers.Clad, Laguna et moi l'avons construit avec l'aide de nos dragon respectif , Bahamut, Keiga et Shrar. C'est un endrois où, comme son nom l'indique, nous accuillons tout les orphelins qui viennent jusqu'ç nous. Si ils le veulent, nous pouvons les entraîners et les emmeners en bataille contre les Xanoiles. Nous ne somme pas beaucoup pour l'instant car l'orphelinat est plutot récent. il y a Gaara, je ne sais pas grand chose sur lui, et Taèth. Vous vous connaissez tout les deux d'ailleur. Sans vouloir être indiscrette, comment vous êtes vous connu tout les deux ? "

Nerwen garda le silence pendant un temps, analysant Naël d’un œil à présent presque menaçant, comme blessé… Il n’aimait pas cette question, mais la réponse à sa question avait été rapide directe et compréhensible, des dragons… il avait toujours voulu en voir, voir comment ils sont conçut, connaître leurs anatomies dans le moindre détaille. Premier objectif, répondre à la question de Naël, deuxième objectif, ne pas lui laisser le temps d’en poser d’autre, vue l’évolution de ces requêtes, il se verra bientôt obligé de révéler son don, ce qui l’agaçait…

" C’est trop indiscret, je m’excuse, et puis comme elle tente de me le faire comprendre, un nouveau jour est née. Si vous m’autoriser à vous demander autre chose, j’aimerais savoir si vous pourriez m’indiquer un endroit ou je puisse trouver canne afin de me soutenir, et mademoiselle, pourrais-je encore vous extirper d’avantage de temps pour une sortie en ville ? "

Sa requête était certes prématuré, mais son visage était presque terrifié d’attendre, il ne voulait pas perdre d’avantage de temps, et qui sais, ces recherches pourraient peut-être intéresser Naël, sur un point de vue utilitaire.

"Hum...une canne...Nous n'en avons pas mais si tu veux, je t'en ferais une même moi. Je me débrouiller plutot pas mal pour faire quelque petite sculpture sur bois. Et pour les sortis en ville...Ton état semble s'être stabilisé mais je voudrais que tu te repose correctement au moins une bonne journée. Après nous verons bien. A vole de dragon, il ne faut pas beaucoup de temps pour aller jusqu'à Nalya, si tu veux nous y irons quand tu ira mieux. Juste une dernière question et promis, j'arrête. Quand tu es entrer dans l'orphelinat, tu étais couvert de blessure et pratiquement mort...Qu'est ce qui t'as mis dans cette état là ? "

Nerwen n’en croyait pas ses oreilles, attendre, encore attendre… Il ne pouvait s’y résoudre, l’orphelinat était dans une partie de l’agglomération tel que les conflits n’étaient pas trop nombreux, n’y avait il canne trainante dans une maison de papy ? Etait-ce obligatoire à leur yeux que de devoir récupérer, grâce aux nombres de ces enfants, ils pourraient toujours le soutenir un minimum, pourquoi n’écoutait elle pas ce qu’il disait, il pouvait y aller, il ne lui demandait que sa compagnie et un bras en attendant la canne… Nerwen insupportait l’idée de devoir rester assied trop longtemps, elle lui dosait la nausée !

" Je ne vous demande que cela, après, une fois que j’aurais mon nécessaire vous avez ma parole que je resterais une semaine dans ma chambre sans trop bouger, mais reste il des villes encore habité et habitale bien entendu ? "

Cette question tenait lui tenait à cœur, restait il des refuges humains conséquent, restait il une humanité… Son visage s’assombrissait au fur et a mesure de ses réflexions, il repensa que cela faisait plus d’un mois qu’il n’avait vue plus de cinq humain en approximativement bonne santé, sa race était elle voué à la disparition ?

Je poussa un petit soupire en faisant la moue. Il avais l'air d'avoir vraiment envis d'aller en ville. Mais son état de santé n'est pas au mieux...
* Mais d'un coté, je suis avec lui. Si son état rechute brutalement je pourais m'en occuper. *

" Bon, très bien...Je t'accompagnerais à Nalya, puisque tu veux tant y aller. Je demanderais à Shrar de nous y emmener pour aller plus vite.
Pour répondre à ta question...Les Xanoiles, pillent et brulent toute villes ou village qu'ils arrivent à avoir sous leur domination. Les rares villes qui réussissent encore à tenir, sont Nalya, Téobe et Minore. Ce sont toutes des villes fortifés. Sinon pour les petits village et petites villes, la plus part ne sont plus que des ruines et déserte. Les gens se réfugies la plus part du temps dans les forêts et les montagnes. ( je laissa quelques seconde de silence ) Bon, je suppose que tu partir maintenant aller maintenant ? En faite je ne pense pas que j'aurais besoin de te faire ta canne, nous n'aurons qu'a l'acheter. "

Je me releva du lit et lui tendis ma main, pour l'aider à se relever plus facilement.

Nerwen se redress, sa santé mental contrôlant en partie sa santé physique, ses jambes allaient beaucoup mieux, il saisit Naêl par les épaules, un sourire joyeux couvrant à présent ses lèvres, et ses yeux étaient emplit d’un espoir sans limite, des cette instant commença le projet de Nerwen Seïgura, et de ses enfants ! La vie, leur vie commençait, et celle d’une personne allait bientôt se retrouver suffisamment en difficulté pour donner naissance à l’ainée de ces enfants ! Et c’est à cet instant que Nerwen prit connaissance de la puissance de son pouvoir ! Son don ne revenait pas uniquement à se servir de ses enfants, mais dorénavant toute opération était inutile, juste tu temps, et de l’espoir ! Nerwen allait modifier ses fils et filles grâce à se don surnaturel !

" Merci Naël, vous ne vous rendez pas compte du service que vous me rendez, et rendrait ! L’espoir est enfin née pour nous, j’ai de grand projet, et vous y participé pleinement ! "

Nerwen ressentit se petit chatouillement agréable passer dans son bras droit, lueur d’espoir parmi toute… LA chose était faite, tout commençait réellement !

Quand il posa sa main sur mon épaule, je ressenti un infime frisson auquel je n'y prêta aucune attention.
Ces paroles m'avais tout de même surpris et je ne put empêcher un de mes sourcilles de se harquer et laisser un sourire amusé se dessiner sur mes lèvres.

" Il t'en faut peut pour te rendre heureux "

Lentement, j'aida Nerwen à sortir de la chambre. J'avais déjà rapidement contacter Shrar ; celui-ci devait déjà nous attendre devant l'entrer de l'orphelinat...

Nerwen fit un léger sourire satisfait, remercia Naël pour son aide, et voici qu’ils progressaient dans les couloirs, pour rejoindre la ville, si seulement Naël savait le pourquoi de son contentement, peut-être le partagerait elle avec lui, mais il ne désirait pas prendre se risque, il avait un besoin quasi vitale de son corps, elle devait vivre et ne devait pas s’éloigner de lui, jamais ! sans elle, ses enfants
étaient perdues.

heu.... toc toc toc

La porte était defoncer , donc pour attirer l attention Clad dis ces quelque mot

comment va le malade? pas torp de bôbô?

Clad regarda l heure sur une horloge qui était mis a disposition sur toutes les chambre

*encore 1 heure*

Nerwen observa un moment Cloud, sa posture, son équipement… c’était un guerrier, dangereux d’apparence, il s’en méfiait, scrutant chaque parcelle de sa personne, puis il présentât une main hésitante en signe de salut, c’était la moindre des politesses.

" Enchanté de faire votre connaissance monsieur, vous êtes l’un des combattant de l’orphelinat je suppose. "

Clad repondis a son signe de la main

oui , même l'un des 3 créateur... moi et naël ici présent sont ....

Clad était plongé dans le brouilliard il ne savais plus quoi dire......

Nerwen tenant la main de Cloud la trouva presque absente, il ne serrait pas, se contentait de présenter sa main, étrange personnage que voila… Un frison parcourue le bras de Nerwen, comme à chaque fois qu’il faisait la connaissance de quelqu’un de spécial, quelqu’un qui l’intéressait, rapidement le frisson parcourue son bras jusqu'à atteindre sa main, et la sensation de passage disparue, c’était fini, le passage de la connaissance était accomplit. Nerwen garda néanmoins sa main encore quelques seconde avant de la lâcher, Cloud était plus un zombie qu’autre chose à l’instant, immobile et rongé de l’intérieur… Il semblait soucieux, mais Nerwen trouverait bientôt moyen de le rendre plus paisible, après tout, il était la pour le bien de la vie, de ses enfants avant tout.

" Vous me semblez dévorez par… vos soucis, vous devriez vous reposer, c’est un conseil plus qu’autre chose, ou du moins, vous isoler, vous êtes réellement habité vous. "

Nerwen lui fit un sourire, cherchant à le réconforter, au moins, Cloud n’était plus seul, mais cela ne semblait pas l’intéresser, il connaissait cette homme depuis quelques secondes, et le considérait déjà comme quelqu’un de vital pour ses enfants, il ne devrait pas disparaitre, mais autant qu’il soit heureux avant que Nerwen ne lui présentent ses enfants, pour qu’il ne leurs fasse pas peur !

Clad le regarda d'un air .... abasourdis il ne savais pas trop quoi dire
ils reflechissa puis il croisa ces bras , ce mis pres d'un mur et colla son pied gauche a ce dernier.Puis il dit

Restez a rien faire ne servirais pas a grand chose, malgres les evenement, feu mon amis Laguna ne sera et n'est pas mortpour rien grâce a lui et a Naël j ai put veniir a bout du mal qui me rangeait... et rester a glander pour aller mieux ne servira a pas grand chose et ne me servirais pas a grand chose

le silence devenait de plus en plus pensant pour moi. Pour le brisé rapidement je dis simplement plus à Nerwen qu'a Clad :

" Bon maintenant que nous avons finis notre petit tour en ville et que tu as ta canne Nerwen, tu m'a promis que tu irais te reposer au moins jusqu'à demain. ( plus doucement à Clad je repris : ) Clad, si tu veux parler...tu sais à qui t'adresser..."

Je tourna le dos et repris ma route avec Nerwen à mes coté, en direction de sa chambre.

Leurs voyages en ville avait été mouvementé, des militaires les avaient plusieurs fois interpelé, trop de fois… Nerwen pensait, devinait que quelque chose se préparait aussi chez les humains… Son sourire une fois dans la chambre illumina la pièce, alors ainsi il n’était pas seul à avoir de grand projet, peut-être cette âme nouvellement apparue pourrait elle l’aider dans sa quête de vie. Mais l’heure n’était pas à se type de réflexions, il avait déjà bien suffisamment à faire avec ces projets présent. Et cette femme l’intriguait, cette Naël, elle était loin d’être dangereuse, et c’était surement la seul de se bâtiment à ne pas se méfier de lui. Il s’installa, et l’invita à s’assoir à côté de lui. Il ne voulait pas lui mentir, sa n’était même plus nécessaire. Lentement son esprit scruta chaque recoin de l’endroit, personne ne pouvait échapper à sa surveillance, et personne n’échappa, car personne n’était la, et Clad était déjà au deuxième étage, parfait… Nerwen se tourna vers Naël, un visage radieux, emplit de joie, du désire de plaire, et d’un air saint, d’une expression d’honnête gentilhomme.

" Madame, me fait vous confiance ? "

Nerwen se redressa devant elle, lui fit un sourire réconfortent, mais légèrement triste, il saisit chaque côté de sa chemise, et commença à la déboutonner, lentement bouton après bouton, et lentement, commença à la faire tomber, glissant sur ces bras, lentement, longeant ces flancs, puis ces jambes, pour finir sur le sol. Ainsi, Nerwen dévoilait ces bras, ces flancs, son ventre… De ces enfants y était présents, en masse, agglutiné contre sa peau ensanglanté, n’aillant comme seul déchire que de se nourrir, l’immondice de milliers d’enfants se piétinant pour arracher la peau de Nerwen, les bruits de milliers de frottement de leurs armures, tous leurs pieds, tous leurs membres…

Suite à cette scène pour le moins dégoutant, j'étoufa un cri de dégout et de stupeur et me releva rapidement du lit, voulant m'éloigné le plus loins possible de Nerwen.

Lui se contentait de me regarder en souriant, l'air tout à fait serein. Toute ces " bestioles" à le manger petit à petit.

J'avais toujorus ma main poser sur ma bouche. Mon estomac se contractait, mes yeux s'écarquillaient encore plus.
Mais qui est-il vraiment ?!
Je ne pris même pas la peine de répondre à sa question que je lui demanda la gorge serrer :

" Nerwen....Qu'est ce qui s'est que tout ça...? "

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